Message de Vincent Pavan :
Alors que l’affaire de Betharram montre que des liens incestueux existent entre la justice et les structures chargées de la protection de l’enfance (ASE, Aide Sociale à l’Enfance), laissant des actes délictuels et criminels être perprétrés dans la plus grande compromission, il est possible d’agir concrètement pour alerter les autorités quant à la dérive inadmissibles des pratiques judiciaires en assistance éducative (justice des mineurs, articles 375 et suivants du Code civil). Ainsi, à Marseille, des forces anticonstitutionnelles, rapprochant certains juges de certains médecins, dans ce qui apparaît comme un véritable pacte de corruption au service de l’industrie pharmaceutique, permettent que des enfants soient drogués de force contre l’autorité parentale, malgré les textes de loi protégeant le consentement libre et éclairé. Décrite par Vincent PAVAN dans un entretien avec Louis FOUCHE (Quand résister mène à perdre la garde de son enfant https://www.youtube.com/watch?v=UYulWvXgnwY) et résumé dans la lettre ci-dessous, la collusion délictuelle entre les juges et les médecins marseillais appellent les responsables judiciaires à leurs responsabilités. Pour tous ceux qui veulent soutenir le fonctionnement régulier de la justice, dans l’optique de défendre la démocratie de notre pays, il est possible d’écrire un email à l’adresse d’Olivier Leurent, président du tribunal judiciaire de Marseille à l’adresse suivante: tj-marseille@justice.fr
Un mail courtois auquel vous pouvez joindre la lettre ci-dessous, afin de rappeler l’attachement citoyen à l’indépendance de la justice, hélas battu en brèche à Marseille, avec des conséquences préoccupantes non seulement sur la santé des enfants mais aussi sur la souveraineté et les libertés individuelles fondamentales.
Vincent PAVAN
Mathématicien, philosophe, auteur
Enseignant-chercheur, Aix-Marseille Université
Président de ReinfoLiberté
